Aller vers l’entourage :
- En prenant conscience que votre malheur peut faire peur et en allant à la rencontre des autres,
- En apprenant à exprimer : « C’est vrai, je ne me sens pas bien et je ne parviens pas à le cacher, mais ne t’inquiète pas, je vais aller mieux »,
- En se gardant d’interpréter les regards extérieurs,
- En prenant, le moment venu, des initiatives pour lancer une invitation sans attendre de la recevoir,
- En apprenant à identifier vos besoins pour les satisfaire ou pour formuler une demande.
En résumé, pour éviter d’être « configuré(e) » à la seule identité de victime.
Ces attitudes relationnelles sont à envisager dans les mois ou les années qui suivent, lorsque la violence du choc est atténuée, mais sont essentielles à considérer afin de ne pas rester configuré(e) à une identité de victime que « les autres » doivent consoler ou prendre en charge à titre de compensation.